...à mon père
L'aiguillon de nos douleurs
S'enveloppe dans nos manteaux
Les arbres sont devenus ombres
Aux fronts des délires sans appel
La mémoire du monde cause une fièvre
On a beau guetter un signe
On apprend à voir à demi
Et les effarouchés s'enfuient
Quelle est cette main ouverte
Oh toi l'oiseau pensée qui passe
Voyage pas plus long qu'un soupir
La mer soulève à peine ses ombres
Les yeux humains sont presque vides
L'homme tire sa route d'un cri très long
Blanche comme du sel sur nos blessures
Une rose à son cœur éperdu
S'enveloppe dans nos manteaux
Les arbres sont devenus ombres
Aux fronts des délires sans appel
La mémoire du monde cause une fièvre
On a beau guetter un signe
On apprend à voir à demi
Et les effarouchés s'enfuient
Quelle est cette main ouverte
Oh toi l'oiseau pensée qui passe
Voyage pas plus long qu'un soupir
La mer soulève à peine ses ombres
Les yeux humains sont presque vides
L'homme tire sa route d'un cri très long
Blanche comme du sel sur nos blessures
Une rose à son cœur éperdu
...
© Schawn
le 02 Mai 2018