jeudi

Petits

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With Careless tout brasse des vides
Tout frise l'exclusion que l'on remue
Ce surgeon que l'on veut toujours défier

Ça change de chair dans les sillons printaniers
Même chez les athlètes des logiques flottantes
Encore spéculant sur l' homme foudroyé 

Faut bien tiré l'ouvrage qui fixent les questions 
L' intervalle accepté sous les masques se livraient
Et gratte que je en e-rires e-frimes e-frondes

Amusantes amulettes des bouches sans parole
Qui biaisaient le monde de bas slogans reliefs
Aux bruits des copeaux de la branche des Shadoks dialectes

Eux comme des dieux et rien d'autre parmi les gens 
Avec du patati de ci de là pour tendre la monnaie
Énièmes linéatures de l'amour qui n'est toujours pas nôtre

Tout ce que crée l'artifice d'instants brisa
Dans le boucan de la charge d'un bouquet final
Leurs yeux levés nus sur l’énigme comme une marée  

Là pour se distraire on choisi avec goût
Pour que tout soit comme la queue du manège
Avec sa p'tite cuillère d'argent qui claque ses conneries

Aiguillons le ciel où se tasse un hoquet
Ne plus voir d'ombres mais de rides agiles
Sur les miroirs des pommades enfoncées jusqu'à l'os

Grimpons dans les tours des petites musiques futées
Les muettes se taisent à leur nouvel humanisme
Ceint du diadème à défendre ses biens

Tout fût trafics de maîtres sur les nouveaux nés
Avec les maux conjugués qui participent du passé
Désormais cents mille oh sont à saisir souillées

Et toujours leurs hameçons aux bassins sans poisson
Pour pénétrer l’ouïe disent les messagers de guerre
Entourés d'ondes circulaires que l'on voit s'éloigner

...


Que grelotte la lune les pierres sont tombées
Avec les parfums élastiques des éclats de voyage
Ils se sont endormis mous sur le néant des rives 

Poussières de flammèches et d'ombres tordus
Mirages perdus dans la gueule des spleens
Parfois même torrides aux torrents des pensées

Langue bouleversée dans les chants des gamins
C'est par vos yeux liquides qu'ils vous empoisonnent
Ils n'ont plus que des mers imagées comme seule demeure

Antérieur à ma parole vos pommettes luisantes
Et vos sauts de plumes qui engendraient des mondes
Mais surtout vos cœurs d'enfants que je n'ai su défendre

© Schawn
le 20 Mars 2015