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Quel homme entend ces chiens de guerre
Et les prières en retour un peu plus
Qui se calquent de voix terrestres pleines
En longs sanglots haillons des fers rouges
En longs sanglots haillons des fers rouges
Hurlements que les vents emportent
Sur les ondes sans bataille des étoiles
Et nus contre ces marées radiomediaticotelephonées
Des tyrans au profil sonore qui vous reste entre les dents
Qui de trop rêver puisent aux gestes des grands
Qui de trop rêver puisent aux gestes des grands
La terre de culture qu'aimaient les généreux
Et la mer puissante parmi ses prairies
Toute flore volée comme l'est aujourd'hui le sable
Et la mer puissante parmi ses prairies
Toute flore volée comme l'est aujourd'hui le sable
On ronge sa douleur au trou noir des nuits
Ces longues laines de siècles et de lunes
Ces longues laines de siècles et de lunes
Qui perdirent leur yeux à se taire
Parce que leurs lèvres étaient en secret
Ces guerriers sont venus s'offrir nos baisers
En valets de manœuvres et de coup tordus
Les regardant sans étonnement ni clarté
Parce que leurs lèvres étaient en secret
Ces guerriers sont venus s'offrir nos baisers
En valets de manœuvres et de coup tordus
Les regardant sans étonnement ni clarté
Au creuset des jours mornes qu'ils ont semé
Jamais est leur demain pour guérir
Jamais est leur demain pour guérir
Le prix à payer est riens béants
Précipices obscurs de brigands
Mais qu'on distingue de plus en plus
Oh revient langue d'oiseau hydromel
Précipices obscurs de brigands
Mais qu'on distingue de plus en plus
Oh revient langue d'oiseau hydromel
Ma vivante de sucres chatoyants
Nous parlerons pour nous saisir
Sans faux semblant mais en pensées transformées
...
@ schawn
le 22/12/2016
...
@ schawn
le 22/12/2016