L'hippo campe ce qui éclipserai
Celui qui est de n'être pas
Ce qu'il est dans quoi il vient
Et ce depuis que des hommes prirent du blé
De Déméter leurs arts de suggérer
Leurs grandes différences à lire
Les lettres comme des étant
D'une langue muette de visible
Et lue d'un oeil si différent d'entendre
Tout le blanc d'une page
Comme un galop de Kalki
Tiens Justement
A l'approche du soir
Qui raconte depuis ses beaucoup
Les riens de sa broderie
Avec une gravité sombre
Sincère profonde
Peut être est ce la faute du jour
D'interroger nos soifs
Et l'incertain de nos vagabondages
D'ailleurs pourquoi risquer le déshonneur
D'être pris en flagrant délit
De confort insipide
Sous nos lueurs de lune
Le désenvoutement de notre unité est inébranlable
C'est si difficile d'y trouver
Sa place avec nos quantités
De bagages et de casseroles
Surtout lorsqu'on devient l'orphelin
Des heures perdues jetées par le sort
Lorsqu'aux chemins des sommets
On s'approche des sources
Y abondent alors les minutes des hauteurs
Et l'on y marche sans hâte
Tout ses sens attentifs se saluant
Étendus jusqu'au soleil
Où ils aiment tant leurs lézardes
Dans des détails saisissants
Que l'on compte par milliers
Tiens des mots y bruissent
Tellement en sons d'un ciel plus proche
Qu'on y sent les bavardages inutiles
Alors la poésie s'y tait
Et dans ces lents silences
Parfois on y repaire
Une lumière pour se guider
© Schawn
le 02 Avril 2023
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