J’offrais peau aux larmes et comptais la présence
Pour dire le vagabond de toi multiplié
Aussitôt réapparu hors cette pénitence
A cette grille des paroles tu trouveras
Libérés des vers obscurs l’or des cœurs humains
Qui se fit eaux d’oubliés que terre dissipa
Voici les ébats des jours ouvreur de portes
Lumières délivrées en couleurs au terreau
Souffles chants porteurs des louanges des cohortes
Pour ceux que la paix désiraient des hier crys
Mon vers n’est pas grand mais tu bois dans mon verre
Il naît de là blanche aube du deiz sun skys
Voici bénéfice aux prairies des aballions
Des anges yeux comme des flèches en eux mêmes
Aux premières pluies lèguent fines fleurs aux galions
Étincelles d'étreintes dans les becs miroirs
Éclipsées d'où l'on croit elles sont belles corolles
Pour s'enrouler aux douces courbes au pré du soir
...
© Schawn
le 25 Novembre 2009
Pour dire le vagabond de toi multiplié
Aussitôt réapparu hors cette pénitence
A cette grille des paroles tu trouveras
Libérés des vers obscurs l’or des cœurs humains
Qui se fit eaux d’oubliés que terre dissipa
Voici les ébats des jours ouvreur de portes
Lumières délivrées en couleurs au terreau
Souffles chants porteurs des louanges des cohortes
Pour ceux que la paix désiraient des hier crys
Mon vers n’est pas grand mais tu bois dans mon verre
Il naît de là blanche aube du deiz sun skys
Voici bénéfice aux prairies des aballions
Des anges yeux comme des flèches en eux mêmes
Aux premières pluies lèguent fines fleurs aux galions
Étincelles d'étreintes dans les becs miroirs
Éclipsées d'où l'on croit elles sont belles corolles
Pour s'enrouler aux douces courbes au pré du soir
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© Schawn
le 25 Novembre 2009