Fredonne les joies de la course légère
Ce plein sol envolé qui s’éveille et qui meurt
Dans l’incendie mû de reflets aréolaires
Ethérés francs aux cœurs mosaïques arrimeurs
Cendres de ciels libérés sous l’encre des peaux
Qui caressent des tympans les penchants silencieux
Délivrent plus souple ton solaire tempo
D'impatientes marées aux doux ballants moelleux
Griffe l’océan de plumes tendres et limpides
L’or même du chant à la bouche qui goûte
Ce grain encagé en langue hypnoïde
Où se déshabille l’audacieuse déroute
Des Fronts volages fusent ses callisthénies
Ballerines percées de grisantes colombes
Exubérances moitiés d’une cosmogonie
Qu’une douce prosodie de goualante inonde
J’ai bu la jonque du Nil aux blanches voilures
L’arbre neuf au cactus ailés d’aveuglements
Nos faiblesses au talon des chairs capturent
L’œil des arts sous les places aux frémissements
Mais l’aile des calligraphies n’est point butin
Uniquement offrande aux ciels infinis
Son écorce est poreuse au moindre Marin
Docile est son oreille vers ses polygynies
Elle offre son lotus à tous chasseurs fouineurs
Ensorcelant l’anonyme de libertés
Arc bandé vers milles yeux enlumineurs
Dardant son or céleste aux orfèvres alertés
Tantôt pierre tantôt potier pour eux d’argile
Aux doigts clairs-obscurs l’envie de touchés nouveaux
Précipitant les échos criants du fragile
Dans l’onde chevelure des lignes pavot
Faire vivante l’orchidée des blessures
Avec en ses parfums vifs d’onomatopées
Les couleurs Camille déchirant sa sculpture
Pour libérer son seul mot ivre d’épopées
...
@Schawn
le 19 Novembre 2009
Ce plein sol envolé qui s’éveille et qui meurt
Dans l’incendie mû de reflets aréolaires
Ethérés francs aux cœurs mosaïques arrimeurs
Cendres de ciels libérés sous l’encre des peaux
Qui caressent des tympans les penchants silencieux
Délivrent plus souple ton solaire tempo
D'impatientes marées aux doux ballants moelleux
Griffe l’océan de plumes tendres et limpides
L’or même du chant à la bouche qui goûte
Ce grain encagé en langue hypnoïde
Où se déshabille l’audacieuse déroute
Des Fronts volages fusent ses callisthénies
Ballerines percées de grisantes colombes
Exubérances moitiés d’une cosmogonie
Qu’une douce prosodie de goualante inonde
J’ai bu la jonque du Nil aux blanches voilures
L’arbre neuf au cactus ailés d’aveuglements
Nos faiblesses au talon des chairs capturent
L’œil des arts sous les places aux frémissements
Mais l’aile des calligraphies n’est point butin
Uniquement offrande aux ciels infinis
Son écorce est poreuse au moindre Marin
Docile est son oreille vers ses polygynies
Elle offre son lotus à tous chasseurs fouineurs
Ensorcelant l’anonyme de libertés
Arc bandé vers milles yeux enlumineurs
Dardant son or céleste aux orfèvres alertés
Tantôt pierre tantôt potier pour eux d’argile
Aux doigts clairs-obscurs l’envie de touchés nouveaux
Précipitant les échos criants du fragile
Dans l’onde chevelure des lignes pavot
Faire vivante l’orchidée des blessures
Avec en ses parfums vifs d’onomatopées
Les couleurs Camille déchirant sa sculpture
Pour libérer son seul mot ivre d’épopées
...
@Schawn
le 19 Novembre 2009