Une perle est la vague où la langue ne sait plus
Livrée aux rêves affolés ses sens en surplus
Pourquoi sans l'un se donne aux flots du voyage
En secondes abstraites d'infinis coloriages
Algarades en cavaleries d'échos ronds
Arcs en ciels triple échapés du giron
Qui verront des citées aux fleurs évanescentes
Surgir ses minuscules magies munificentes
Du chemin allé fleurant bon ses mille regards
Où demeure surprise la chair qui s'égare
Et ses neufs féeries d'ailes où s'envole le cœur
Aux nombrils des choses toujours un vainqueur
Dans l'ile prodige les spirales vivantes
Délivrées dans l'encre des secondes ferventes
Quand l'oeuvre versée en rayons d'améthystes
Courre ses petits jeux en maraudes altruistes
Au pupitre d'hier vu Phanes de leurs corps
Voulus nus précipités aux cotes accores
En des glapissements émissaires en bouquets
Dans leurs plus habile muse lierre embouquée
Qu'il m'en faut transporter les rosées infinies
Sur des mots navigables d'embrouillaminis
Livrés aux baumes connus des liquidambars
Et non de pirouettes élastiques isallobares
Pour révéler qu'en leurs soleils évaporés
Des astres s'arrachent son brulant inexploré
...
@ Schawn
le 26 Novembre 2009
Livrée aux rêves affolés ses sens en surplus
Pourquoi sans l'un se donne aux flots du voyage
En secondes abstraites d'infinis coloriages
Algarades en cavaleries d'échos ronds
Arcs en ciels triple échapés du giron
Qui verront des citées aux fleurs évanescentes
Surgir ses minuscules magies munificentes
Du chemin allé fleurant bon ses mille regards
Où demeure surprise la chair qui s'égare
Et ses neufs féeries d'ailes où s'envole le cœur
Aux nombrils des choses toujours un vainqueur
Dans l'ile prodige les spirales vivantes
Délivrées dans l'encre des secondes ferventes
Quand l'oeuvre versée en rayons d'améthystes
Courre ses petits jeux en maraudes altruistes
Au pupitre d'hier vu Phanes de leurs corps
Voulus nus précipités aux cotes accores
En des glapissements émissaires en bouquets
Dans leurs plus habile muse lierre embouquée
Qu'il m'en faut transporter les rosées infinies
Sur des mots navigables d'embrouillaminis
Livrés aux baumes connus des liquidambars
Et non de pirouettes élastiques isallobares
Pour révéler qu'en leurs soleils évaporés
Des astres s'arrachent son brulant inexploré
...
@ Schawn
le 26 Novembre 2009