Connais tu ce pays aux ciels immenses de ne plus heurter
Les sons des cœurs où chaque souffle est une errance d’aimer
Plus souple que le temps l’éternel pas sage que nul emprisonne
Sous les fronts comme mille semences les étoiles résonnent
Illuminées par les parfums de la liberté nue où dansent les mondes
Ici s’offrir la terre suffit bien aux corps ouverts quand l’univers s’invite
A quoi servent toutes ces géographies qui disent le meilleur chemin
Dans cette cavale ou l’autre n’est que lui même par la moitié magique
Dans cette cavale ou l’autre n’est que lui même par la moitié magique
L’offrande des caresses en chaque peau est profonde et l’extérieur luit…
...
© Schawn
le 2 Janvier 2007
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