Lumière des sons tissés et si
L’hiver à ta vue fût ton invisible été
Les ruisseaux de la plaie sont fertiles et comment
Précipitant l’énigme d’une blancheur de page
Dans des suspensions à la hauteur de la fascination
Te voici pris et surfant sur la cime des mots
Où t’amène la vague enflée qui révèle ce fragile ?
D’une voie qui les écoule peut on attendre mieux
Loin et si prés traversant même la retenue des baisers
Secrètes germinescences dans tes seules couleurs
A la clef de ta lyre libre elles s’emprisonnent de liberté
Dans l’antre d’un voyages aux milles bruits et si proche
La retrouvance des folles chevauchées à l’orée des soupirs
© Schawn
le 03 Aout 2007
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