
Viennent alors à s'enlacer tous les silences aux grands yeux
Dans l’oreille galopante d’une même résonante chevauchée
Puisée en ton eau et mêlée au cours et dans ses parfums de rives
Pour comme hier s’y laisser aller plus léger qu’un bouchon
Puis du souffle des couleurs en brassée faire son équipage
L’absent est présent si au sein de ce rubis est ton reflet offert
En étreinte d’azurs ses rodéos feront alors notre corps volage
Où se griffent nos abîmes à hurler leurs courbes de lumière
Et qui de joies t'invitent impatients d’éclore en sourires de soie
© Schawn
le 14 Octobre 2007
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