Oui je vois vos sourires abyssals qu’un pinson réclamait
De vos ciels phosphorescents tendez moi encore la flamme de vos lents hiéroglyphes
D’ici j’en tisserai la rosée sur vos cils en fleurs, d’ici je bois ton cœur
Silencieux de sa traversé et antérieur à la parole il va fécond plus loin que nous
Pour abreuver ce monde plus grand, encore coincé en nos gorges muettes
mais si prés d'un baiser à s'offrir pour qu'il délivre l'aube
...
© Schawn
le 17 Octobre 2007
© Schawn
le 17 Octobre 2007
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