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Poème solitaire
Ta fêlure à travers
Les écoutes du cœur
Libèrent tes lumières
Comme des cieux ouverts
Elles se détachent
Puis se déposent
Dans les yeux des chants
Emportées et souples
En leurs infinies
Clameurs des sangs
Colombes vivantes
Paroles muettes
En langue munie
De tous les sens
Là tranquille
Tu va d'un seul corps
En constellations
Aux braises des mots
Qui te multiplient
...
© Schawn
le 27 Novembre 2020
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