Le chant lourd du jour
Est fouetté
De nuages
Comme des cris
A porter
Quel plomb
Ces plumes d'autruches
Mais tant qu'on peut vivre
D'un bout à l'autre
L'artisane envolée
Reste encore immense
L’écrin
Des maux tus perd sa vue
Cœurs voilés nos ailes d'anges
Songent aux horizons
Et s'élancent sur des tapis
Où tout disparait
D'amour
Est ce la faute
Toutes ces cendres d'heures
...Avril Juin Juillet...
Qui s'habillent d'arts-en-ciel
Et masquent nos folies
...
@ Schawn
le 22 Juillet 2019