© Werner Mannaers
Hommes sans homme tristes silhouettes
Seules présences qui sans cesse meuvent
Dans l'écran des yeux sont tous ciels
Seules présences qui sans cesse meuvent
Dans l'écran des yeux sont tous ciels
Aux prises des cris de la cité
Quelles hors limites reste disponibles
Dans tout ce qui nous hante encore
Tant aspirent les derniers souvenirs
En détails qu'on enferme sur soi
On attend son peu des pas las
Quelles hors limites reste disponibles
Dans tout ce qui nous hante encore
Tant aspirent les derniers souvenirs
En détails qu'on enferme sur soi
On attend son peu des pas las
Le corps esclave du roi Céphale
Brisé par ce qui va sans but
Sur la carte des chemins lovés
Au boulevard des angles plus d'oiseaux
Pour se panser la gueule cassée
On retrouve qu'une trotteuse horrible
Qui bouge le temps et s'en fout bien
Sur la carte des chemins lovés
Au boulevard des angles plus d'oiseaux
Pour se panser la gueule cassée
On retrouve qu'une trotteuse horrible
Qui bouge le temps et s'en fout bien
La pluie le vent l'air pollués
S'emparent du reste qui va tout droit
Avec son cri ourlé de gèle
Cherchant à pas tomber debout
...
S'emparent du reste qui va tout droit
Avec son cri ourlé de gèle
Cherchant à pas tomber debout
...
© Schawn
le 5 Mars 2017
le 5 Mars 2017