Ni précède ni ne suit
Juste l'avec paradoxal
Dés lors en primaires perçues
Et quand surgissent les Luperques
Ville fouettée par tes lanières d'azur
C'est l'amour l'amour vaste des renouveaux
D'où s’échappe nu debout ce vent qui déroule
Sur le fleuve d'Ophélie son tracée pour la fuite
S'offrir un espoir n'est peut être que cela
Entrent dans cette marée les cris des yeux
Me disais je si la peau du lion d’Héraclès
Embrasse sa reine brodée d'horizons
Les contacts servent leurs couvertures
On édifie son vivant depuis son hamac
A en croire les frissons de sa peau
Donner son rien en voisin
C'est comme on se croise au matin
Pour faire vague les écumes des vues
De quel coté leurs douces folies
Entendent l'âpre liberté
De leurs effluves à foison jusqu'au goût
Toutes chairs tombent des astres
Les bourgeons des brindilles y crèvent même de chaud
A travers leurs doigts c'est l'ossature chétive des choses
Si leur besoin est une gueule de bois
C'est certainement pour prendre grand soin
Des silences à l'envol des bleuités
D'ailleurs le temps lui s'en fout
Des couleurs des balcons de montres en habits de cours
Son paraitre ne se claquemure pas que derrière un œilleton
De partout des courbes se dandinent aux vents
Tout est assez bon aux vertueuses acuités
Pour rejoindre la lente veille de leurs petits sourires
L'un par l'autre s'articule
...
© Schawn
le 01 Février 2024
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire