© ABPV
J'ai mal et crie
La parole d'un vent
Saigne ses vers
Que tu te siffle
Sa sève est maux
Qu’opèrent métamorphoses
Le bleu franc des blessures
Mobilise ton regard
Où brille un scholie
De je ne sais quoi de roulant
Qui épuisent son air
De tête à se prendre
Chaque fuite à l'envers
Pour ne plus se rater
Et l'on claque sa ligne
Qui zigzag parfaitement
D'un biais absolu
Auriez vous monnaie
De tête moins triste
Onzain enfantin
Plus clair qu'opalescence
Le restant d'un hors mot
Sans voix dans son hydre
Pour le faire courir
Il faudrait peut être
Le dévêtir pour offrir
A sa marche la fin
Des maux criants
C'est énorme
De le vouloir
Mais qui appeler
Quand cette langue
En corps est
A se tarir
...
© Schawn
La parole d'un vent
Saigne ses vers
Que tu te siffle
Sa sève est maux
Qu’opèrent métamorphoses
Le bleu franc des blessures
Mobilise ton regard
Où brille un scholie
De je ne sais quoi de roulant
Qui épuisent son air
De tête à se prendre
Chaque fuite à l'envers
Pour ne plus se rater
Et l'on claque sa ligne
Qui zigzag parfaitement
D'un biais absolu
Auriez vous monnaie
De tête moins triste
Onzain enfantin
Plus clair qu'opalescence
Le restant d'un hors mot
Sans voix dans son hydre
Pour le faire courir
Il faudrait peut être
Le dévêtir pour offrir
A sa marche la fin
Des maux criants
C'est énorme
De le vouloir
Mais qui appeler
Quand cette langue
En corps est
A se tarir
...
© Schawn