© APBV 2009Sur la première corde le souffle puissant du doux
Élargit par son pouls l’espace à la clef du timbre
Qui suinte son tempo bourdonnant de tonitruants vents
Sur les épaules des respirations au calendrier des cendres
Du là né l’accord à la terre et l’architecture des rêves
En pas harmonieux et touchés qui réduisent les distances
Depuis le ventre du silence d’où s’exsudent les charmes
En constellations lumineuses et mirages endormis
Le réconfort est le secret du compère au sang chaud
Pour brisé l’envoûtement sonore des errantes volutes
Sur l’agenda des mesures noyées d'un lacrymal hidalgo
Au vêtement rouillé qui réclame son clairon à la charge
Le solaire soft se risque au bouillonnement calcul
Arrondissant la voix des comètes aux substances étranges
Plus clair sera l’éclair dans lequel elles sont prises
Éprises de déhanchements polis aux fières effigies
La silhouette gitane m’accompagne à la lune montante
Se nourrit aux chapelets des grelots empruntés aux marrées
S’éclipse dans la poitrine des chœurs follement incendiés
Par la castagne des chorégraphies aux yeux perçants et noirs
Le miracle est une mutinerie de reflets d’oiseaux libérés
Dans lesquels se défient toutes les couleurs de l’ivresse
Puisés au miel issu des nombrils émissaires du temps
Qui proclament leurs langues et relèvent tous les anéantis
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© Schawn
le 21 Janvier 2010
