La souplesse des empreintes changeantes
Fait bouclier d’or les éclats que l’on mord
L’ombre se mesure au vécu du paquetage
Au gré de ses humeurs on goûte les rondeurs
Puis se distraire des tournures embrassées
Agrandir la cendre élargir le cercle
A l’agenda d’entendre sa course de tissus
Et les cérémonielles dextérités des yeux
La qualité du cri qui sème dans le temps
La beauté des pas fait l’élégance des écumes
Fendre les saisons qui changent de couleurs
Froides et muettes et sonores et chaudes
Écouter la pluie boire le soleil des mots
A plus que demain dans les gorgées de ciels
La splendeur fait son profil au calque des reflets
Grimper aux ailes et leurs criants dessins
Conter les lunaisons de nos paletots solaires
Avec la plume intérieure des tempêtes et calmes
La somnolente ou l’éveillée au retour des jeux
Libre est l’arche cotonneuse chaume des langues
Parce que les livres des tournées de chairs
Dessine la carte des singuliers sur l’universelle
La voir se dresser ne nie pas le pluriel du vivant
Les origines multiples issues de son creuset
Puise au-delà de la course son infinie clameur
...
© Schawn
le 19 Mai 2009
Fait bouclier d’or les éclats que l’on mord
L’ombre se mesure au vécu du paquetage
Au gré de ses humeurs on goûte les rondeurs
Puis se distraire des tournures embrassées
Agrandir la cendre élargir le cercle
A l’agenda d’entendre sa course de tissus
Et les cérémonielles dextérités des yeux
La qualité du cri qui sème dans le temps
La beauté des pas fait l’élégance des écumes
Fendre les saisons qui changent de couleurs
Froides et muettes et sonores et chaudes
Écouter la pluie boire le soleil des mots
A plus que demain dans les gorgées de ciels
La splendeur fait son profil au calque des reflets
Grimper aux ailes et leurs criants dessins
Conter les lunaisons de nos paletots solaires
Avec la plume intérieure des tempêtes et calmes
La somnolente ou l’éveillée au retour des jeux
Libre est l’arche cotonneuse chaume des langues
Parce que les livres des tournées de chairs
Dessine la carte des singuliers sur l’universelle
La voir se dresser ne nie pas le pluriel du vivant
Les origines multiples issues de son creuset
Puise au-delà de la course son infinie clameur
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© Schawn
le 19 Mai 2009