Sous les suspensions une langue
Par sa seule présence assoiffée
Chante inlassablement des trilles
A la céleste anonyme oreille
Epuiser les pouls polyphoniques et les yeux bleus des vagues
L’envol des poésies est-il
ce secret mystérieux des azurs
Où s’inondent nos ciels en cages
Que nos caresses libèrent
Dans des extases d’encres magiques aux rythmes des roulis
…l’onde s’imprime dans l’écume des jours…
...
© Schawn
Le 23 Octobre 2006
© Schawn
Le 23 Octobre 2006
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