
Une ondée fine s’enfuit dans l’avenir des baisers que les ventres remuent
Et par le chant des robes éclabousse de futur le prolongement des sèves
Le dire muet en fragrances de rosée s’échappe à pleines bordées de voiles
caresser la peau nue des écritures ce ramage poète où tout luit en dedans
Et déjà tandis qu’un regard l’effleure renaît la lueur où il se voit immense
...
© Schawn
le 11 Avril 2007
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