
Pèlerine le vent dresse sa stature de glaise
Mes empreintes sont rubis sous tes doigts
Et j’ai vu l’ocre à mordre de pleine chair
Maintenant libérer les demi-lunes de braises
les parfums qui s’offrent de l’obsidienne attente
Et bien plus encore où voilà la spatule qui te destine
Celui au quatre yeux dessous ton front curieux
...
© Schawn
le 16 Octobre 2007
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