
Un chant qui ne t’appartient pas se loge où que tu ailles
La goutte s’enfuit de son toit et lentement se prolonge
L’écriture que tu n’as pas écrite te fait goûter la chair
L’enfance emmiellée des innocentes lenteurs blanches
Lumière halée qu’un voile sépare du plus grand
L’immense écoute disséminée en pampilles tombe
Cœur contemplé cœurs allant humbles, humble amour
Le souffle du poème est une litanie des sens échappés
Toujours recommencée la main dans la main écoutée
Lambeaux ramassés à la sérénité où tout s'avance
...
© Schawn
le 3 Février 2008
1 commentaires:
(...mise à jour des commentaires laissés anciennement sur ce texte et devenus inaccessibles faisant suite au déménagement de ce billet jusqu'ici...avec toutes mes excuses pour ce long retard... travail long et éprouvant...)
2 commentaires:
Maria-D a dit…
Merci ... c'est beau ... cette voix extraterrestre... j'aime
9 février 2008 15:24
Anonyme a dit…
j'ouvre au hasard, une plume
et je tombe sur ton ave maria
ce chant que j'aime par-dessus tout...
je me sens de te retrouver, comme si tu revenais de loin...
mes pensées,
anaka
11 février 2008 21:58
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