Tresse ta courbe à travers la lampe du motus indigo
Tes trocs claquemurent les yeux d’un je n’sais quoi
Le pacte nu parlé épuise la rigueur impeccable
Ment
Avance ajoute avance comme le cric à cran
La solitude seule est fiction de la grimace
Sur fond de ciels noirs grivois gris bleus
En frises tes mots en permanence
Hurlent à sang la ruine mutilée
Les restes de draps vains comme vase
Ta faim trempée en cils de pluie
Tatoueuse d’avenir enseigne le silence
Soulage ta loi de gorge en corps
Des lests boucliers fait blanches prises
Arque ta peau d’amandine impeccablement
Le pacte nu parlé et puise la rigueur
...
© Schawn
le 30 Janvier 2008
1 commentaires:
(...mise à jour des commentaires laissés anciennement sur ce texte et devenus inaccessibles faisant suite au déménagement de ce billet jusqu'ici...avec toutes mes excuses pour ce long retard... travail long et éprouvant...)
1 commentaire:
S. a dit…
Immobile jusqu'à s'en lécher les yeux...
24 février 2008 13:40
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