
Donnez moi la grandeur d’une autre caresse pour contempler
Cet effleurement intense et sans trêve d’un touché nouveau
Sous l’oeil rond aux magnifiants échos qui nourrit la rose abstraite
Cet effleurement intense et sans trêve d’un touché nouveau
Sous l’oeil rond aux magnifiants échos qui nourrit la rose abstraite
Je veux voir la marche des arbres en ciel sous la dictée des vents
La lente pluie des rédactions d’automne aux plumes d’ors et bronzes
Le cœur attentif à l’oreille qui peint la symphonie des chants emboisés
La lente pluie des rédactions d’automne aux plumes d’ors et bronzes
Le cœur attentif à l’oreille qui peint la symphonie des chants emboisés
Je veux boire le jour hospitalier aux bourdonnements de la fontaine au parc
Les mains emplies de rien sereinement empochées d’un paletot idéal
Pour me laisser tatouer par la valse lente d’une percée de rayons et d’ombres
Les mains emplies de rien sereinement empochées d’un paletot idéal
Pour me laisser tatouer par la valse lente d’une percée de rayons et d’ombres
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© Schawn
le 30 Aout 2007
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