Sur les quais de rouilles les balancelles
Du voyage s’égouttent à pas de grelots
La pluie à genoux des poèmes navigués
Retrouve son allant sans œil gouvernail
Son chemin hydropate est tempo clausule
Aoriste mélopée d’une cataractante source
Froide ou chaude tropicale ou glaciaire
Dessous le roulis des gongs stalagmitiques
La toiture de vers en reflets de lit courant
Emeraude en vallée se joue du patient rets
Titillant l’oreille dans la prunelle du chant
Ou dans le vole bleu d’alcyon à gorge feu
Piochez dans le charme allez de votre larme
Riez aux tisons hâtez vous le barde passe
Il dit à qui le veut savoir sa vieille romance
Cette tendresse de barbe, ...que lève le blé ...
© Schawn
le 1 Juillet 2007
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