© Hubert Stadler
Tout le jour composé appelle l’édifice
Invoquer allons jusqu’à cette chance
Remuer les trous de la nuit la place
Où jouent les flammes qui servent de cœur
La solitude gagne ses vieilles pavanes
Inonde nos faiblesses comme à dessein
L'excellente niaiserie du combat
Cette ronde où nous joignons les mains
Les bords du délice c'est cela devant
Le défi d'une danse en sangs navigables
Pour des bateaux qui quittent
Leurs masques en des sueurs d’hélices
Partons pour les pays sans nom
C 'est cela la splendeur céleste
Cap aux voiles des vents uniques
Pour nous dire tout ce qui parle en nous
Ça déroule un vacarme qui respire
Comme les mains sont pour faire des étoiles
Des choses lues happées à la périphérie
D'une carte qui danse en somme des rendez vous
Je me rends roule dans ce vers
Il est tendre comme un mot invisible
Qui favorise les lumières des yeux brillants
Et la charge intense des larges pupilles
...
...
© Schawn
( extrait de "les eaux du dervenn" )
( extrait de "les eaux du dervenn" )
le 15 Décembre 2012
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire