Les entremises androcées s'accrochent aux clochettes
Comme des sphinx ailés sur une orchidée
On suit les détails glissants jusqu'à leurs dérobées
Souvent dans les galeries on applaudit de sa langue
Sans cravate sans culotte sans plus rien
Mature et dénouée jusqu'à l'asphyxie
Pour tarabuster de bruits la cornée en chaux vives
Quelles tristes latences bougent ces heures
S'empressent de polir les silences battus
Par de tristes farces et des écrans livides
Qui ne sont qu'épuisements de tous les dilemmes
Qu'avec grand peine nous aurions pu aimer
Oh qu'ils chuchotent dans le coeur des hommes
Les mots sont aussi vains que leurs quêtes
...
© Schawn
le 01 Février 2015