... Ah ces poètes...
Desécrivons pour ne point les cabrer
Les éployer et dés que je peux
Les écouter pendant de longues heures
Ces géants aux yeux humains
A oui l'aiguillon comme a l'accoutumé
De la main gauche pour réduire l'écart
Les accidents épaissis au crayon
Cherchent à réduire le hurlement sourd
Tarabuster la moindre activité
Comme un bobo photographe
S’essuie jusqu'à l'inattendue
Pour gouter aux lois de la pesanteur
Alcooliques et vicieuses
Dans lesquels sont prises
Ces ténèbres qui prient
Veux tu offrandes plus variées
Aux aboiements de la nuit
Les baves aux éclairs sonores
Les éployer et dés que je peux
Les écouter pendant de longues heures
Ces géants aux yeux humains
A oui l'aiguillon comme a l'accoutumé
De la main gauche pour réduire l'écart
Les accidents épaissis au crayon
Cherchent à réduire le hurlement sourd
Tarabuster la moindre activité
Comme un bobo photographe
S’essuie jusqu'à l'inattendue
Pour gouter aux lois de la pesanteur
Alcooliques et vicieuses
Dans lesquels sont prises
Ces ténèbres qui prient
Veux tu offrandes plus variées
Aux aboiements de la nuit
Les baves aux éclairs sonores
Préhensibles qui s'interrogent
Miroir miroir dis moi qui est le plus beau
Passons les sommeils impénétrables
Miroir miroir dis moi qui est le plus beau
Passons les sommeils impénétrables
Qui ne sont autres que nous même
Tentant de gravir des cimes
Avec de métallique odeurs de sang
Élevons l’œil jusqu'aux professeurs
Laissons les dire comment tout s’achève
Le corps du réseau grouille de vers
Jusqu’à l'humus des creusets printaniers
Et parmi le troupeau les pieds vont
En prises aux fables succomber et gémir
Pour la joie de la foule qui érige sa puissance
Sous le poids d'une fatigue qui envahit leurs huttes
...
© Schawn
Le 7 Décembre 2017
Tentant de gravir des cimes
Avec de métallique odeurs de sang
Élevons l’œil jusqu'aux professeurs
Laissons les dire comment tout s’achève
Le corps du réseau grouille de vers
Jusqu’à l'humus des creusets printaniers
Et parmi le troupeau les pieds vont
En prises aux fables succomber et gémir
Pour la joie de la foule qui érige sa puissance
Sous le poids d'une fatigue qui envahit leurs huttes
...
© Schawn
Le 7 Décembre 2017