© Anna Petyarre
Les cordes aux doigts mourantes
Tiraient des songeries
Les ivresses des nuits lentes
Pour gouter les grands ris
Frêle du vrai faux chablé
Tel un fol avec zèle
Pour y voir l'or noyé
Disparaitre sans querelle
Nuits noires nues rappelant
Celles blessées aux blanches prises
Bien trop lâches et pourtant
Qu'une langue inhabile frise
On suit cette trouée goinfre
Tiraient des songeries
Les ivresses des nuits lentes
Pour gouter les grands ris
Frêle du vrai faux chablé
Tel un fol avec zèle
Pour y voir l'or noyé
Disparaitre sans querelle
Nuits noires nues rappelant
Celles blessées aux blanches prises
Bien trop lâches et pourtant
Qu'une langue inhabile frise
On suit cette trouée goinfre
Dans l'onde roulant ses vœux
Tel l’ailleurs clarté feinte
Tamise les cœurs houleux
Poindre le plus haut d'un œil
A lancer son assaut
Hors cet horrible bunker
Enlaidi de murs hauts
Qu'un opium triste étiole
De larmes grasses et de limbes
Comme fantasques gaudrioles
Mensongères et sans nimbe
...
© Schawn
le 21 février 2017
Tel l’ailleurs clarté feinte
Tamise les cœurs houleux
Poindre le plus haut d'un œil
A lancer son assaut
Hors cet horrible bunker
Enlaidi de murs hauts
Qu'un opium triste étiole
De larmes grasses et de limbes
Comme fantasques gaudrioles
Mensongères et sans nimbe
...
© Schawn
le 21 février 2017