Que les mots sont si âpres dans la matière
L'utopie implique deux histoires en lutte
Et le collectif s'est toujours du neutre
Où nulle personne n'est jamais responsable
Cachée dans mes eaux
Tel est le paradoxe des pensées lâches
Ici écrire n'est pas conviction vague
Elle démontre l'horreur qui déchire le monde
La légalité du neutre sans sujet
Une moitié demeure
La déréliction seule bonne solitude
Agit sans le flou de mille commentaires
Aucune lecture n'est indépendante
Reconnaitre cette phanie nous donne d'entendre
Pour celle qui complète
Pour toi qui boit ce très vieux dialecte
Le non dit a toujours un pas d'avance
Il se retient un temps à qui parler
D'un amour se vêt sans liberté meurtrie
Ma peau et mon âme
Et le silence tombe rien de tel sans lui
Avec ses belles strophes sorcières endormies
Ces hiéroglyphes qui cherchent des cieux pour vivre
Sont éclosions frêles aux fins yeux premiers
Elle tresse en secret
Et c'est alors que l'on perçoit l'obscur
Quel criant jaillit de l'invisible
Épair sage à la chair bouleversée
Quand la lumière est passée dans l’œil clair
L'encore immobile
Sous ces mots qui dansent tournent toutes ses saveurs
Qui vont au hasard glaner des regards
En espérances ou malheurs qui les voient
L'ordre des pensées implique de leurs fins l'oubli
L'utopie implique deux histoires en lutte
Et le collectif s'est toujours du neutre
Où nulle personne n'est jamais responsable
Cachée dans mes eaux
Tel est le paradoxe des pensées lâches
Ici écrire n'est pas conviction vague
Elle démontre l'horreur qui déchire le monde
La légalité du neutre sans sujet
Une moitié demeure
La déréliction seule bonne solitude
Agit sans le flou de mille commentaires
Aucune lecture n'est indépendante
Reconnaitre cette phanie nous donne d'entendre
Pour celle qui complète
Pour toi qui boit ce très vieux dialecte
Le non dit a toujours un pas d'avance
Il se retient un temps à qui parler
D'un amour se vêt sans liberté meurtrie
Ma peau et mon âme
Et le silence tombe rien de tel sans lui
Avec ses belles strophes sorcières endormies
Ces hiéroglyphes qui cherchent des cieux pour vivre
Sont éclosions frêles aux fins yeux premiers
Elle tresse en secret
Et c'est alors que l'on perçoit l'obscur
Quel criant jaillit de l'invisible
Épair sage à la chair bouleversée
Quand la lumière est passée dans l’œil clair
L'encore immobile
Sous ces mots qui dansent tournent toutes ses saveurs
Qui vont au hasard glaner des regards
En espérances ou malheurs qui les voient
L'ordre des pensées implique de leurs fins l'oubli
Délaissé du chant
Il faut chanceler d'accorder son être
Avec les idiomes du monde de chacun
Qui savent les lianes secrètes des musiciens
Où se balancent le proche comme le lointain
pour un autre envol
Dans cette mosaïque des fiévreux poum poum
Ces ténèbres qui crient toute l'ivresse des rêves
Sont feux éteints des hommes dans la noirceur
Sous le joug de leurs maux tus tout comme toi
En fragment de vers
Là où ton cœur veille cet acte enfermé
Y tombent nos manteaux dans l'effroi très vif
Là où rêve ton temps mesure son absence
Parmi les chemins trop empruntés
Quel silence est d'or
...
© Schawn
le 09 Février 2018
Il faut chanceler d'accorder son être
Avec les idiomes du monde de chacun
Qui savent les lianes secrètes des musiciens
Où se balancent le proche comme le lointain
pour un autre envol
Dans cette mosaïque des fiévreux poum poum
Ces ténèbres qui crient toute l'ivresse des rêves
Sont feux éteints des hommes dans la noirceur
Sous le joug de leurs maux tus tout comme toi
En fragment de vers
Là où ton cœur veille cet acte enfermé
Y tombent nos manteaux dans l'effroi très vif
Là où rêve ton temps mesure son absence
Parmi les chemins trop empruntés
Quel silence est d'or
...
© Schawn
le 09 Février 2018