Samhain vents frileux troués de rouilles
Qui rend l'homme à lui même où il se bat
Son cœur en chute libre dans sa trouille
Son nombril enroulé à ses pas
Par le feu et le rire des feuilles en pleurs
Celles qui éclairent et brûlent les heures d'ors
Au resplendir des choses angles qu'on effleure
Eveille le "voir" des yeux plein d'encore
Ils chantent en plumes les tempêtes
Des long jours jardins
…
© Schawn
Le 05 Novembre 2025

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