A trois mots d'ici ils perdurent
D'écorces tendres et rien d'autre
Que sons trempés aux protections des tempes
L'art est l'aile des lieux d'envols
Au labyrinthe des festins aurifères
La souplesse des strates lange une eau
De gambades et de jongleries intimes
Ses flamboyances sont sans paroles
De ce lit céleste se savoure
D'écorces tendres et rien d'autre
Que sons trempés aux protections des tempes
L'art est l'aile des lieux d'envols
Au labyrinthe des festins aurifères
La souplesse des strates lange une eau
De gambades et de jongleries intimes
Ses flamboyances sont sans paroles
De ce lit céleste se savoure
Le joyau clairévéillé d'une errance
Calé solidement loin des ruines
Et dans la cage des lettres s'ancre
Comme la perle d'une lente langue
Son regard est sans habit la voici autre
Tandis que se lève l'aube de mon sourire
Son regard est sans habit la voici autre
Tandis que se lève l'aube de mon sourire
...
© Schawn
le 17 Juin 2012
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