mercredi

...une porte...

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Son paysage se cambre de la terre aux étoiles
Habité de sanglots et de trilles et de libertés nues
Sa poitrine est verte entre nos épaules
Et entrouvre l’horizon du jamais ne s’achève...

Si mes vers souvent le pleurent en pentes douces
Ils encrent aussi sa porte de chair où est l’entrée du monde

...

© schawn

le 1 juillet 2006


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