Trabouler songeur sous le front la lumière courbe
Le volapuk de Rosa, rosam, rosae, rosas, rosarum, rosis
Qui ira pedibus jusqu’à la pensée de la fleur inerme
Galapiats huchant dessous la brume la noce de mai
Coudoyer l’alouette à l’heure qu’un rayon inonde
Et ce lent espalier rythmant tantôt le hue tantôt le gai
Voyons Luron de bonne solitude quand tu es clair-obscur
Le temps passe et tu entends le faire tourner d’aïeule clarté
L’ô voilà une haie au dessous d’un bouquet d’ombres
Ajuste ton pas sûr, tu sais celui qui fait virage avant le gué
Les marjolaines sont pleines de bruits à s’esbigner
Et on entend tout autour leurs amours peu farouches
…
© Schawn
le 15 Mai 2007
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