lundi

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Je sais moi qui claudique en sa toge
Qu'un souffle mal entendu de cire destiné
Aux grottes d'eau Siam déboucha en obstinées
Entreprises convoyant des choses qui pataugent

Sous cet amer poitrail c'est le berceau d'un sel
Marin aux filtres poreux issus des grandes jarres
Tirées à l'aveuglette par décodages binoclards
Au nez des vers et coupes obscures des crécelles

Mais dans ses aubes creuses mes flots firent un moulin
Avant leurs machineries d'engrenages malins
A pareilles créatures tout rend parfois discounts les comètes

Quelles tapageuses ne sachant rien des fonds d'azurs
Qu'elles implorent ou qu'elles planent un cap de bateau
Naviguant chacun juge par soi ses constellées mesures

Où allez vous mélodies dans leurs cœurs disloqués
Pourchassez vous dans leurs antres un fantôme
Ou bien pire magnétisés par la lecture syndrome
Qui tout tue forcément êtes vous violemment estoquées

Aux destins des sonnantes as tu déjà entendu

Par la vitalité de cette lyre les hautbois du miel
Troisième moitié des mages où flotte l'hydromel
Mieux que d'essais en quatre les retours côtoient

Ici se garde dans cette mélodie leur quatre ailes
Deux pour la deuxième qui est déjà mon cœur
Deux pour le premier qui est déjà en elle

Tu les épelles comment?
Bien mieux qu'elles se jugent
Qu'est ce que tu dis?
...Evned a-penn... ganuziñ te...



EH EHEE 
(...qui vous parle?...)

...
© Schawn
le 28 Juillet 2012

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