© Man Ray
Pas lino logis aux lanternes iridiennes
Les souffles d'aises nues en dedans s'envisagent
Aux mille facettes des yeux où se pare l'envol
Rire avec l'en eux des rêves des livres des places
Certains à crochets nagent aux mouvement des ouïes
Chancelant ceux des nôtres dans l'écrit des cieux
Puise aux averses la luisante bouche qui dort
Tout contre la rosée légère vole et voyage
Homme sans nom femme pluie chérit son retour
Factices ne sont que bois l'encre mêlée de sens
Peuplées d’ellipses et lucioles faisant des choses
En clairs orfèvres par l’éclat lu aux joyaux
Tympan en route guérit un monde et pour bien
Souffle en paroles les aigrettes d'hier et songe
Où se pose aujourd'hui les silences d'eaux vives
Les souffles d'aises nues en dedans s'envisagent
Aux mille facettes des yeux où se pare l'envol
Rire avec l'en eux des rêves des livres des places
Certains à crochets nagent aux mouvement des ouïes
Chancelant ceux des nôtres dans l'écrit des cieux
Puise aux averses la luisante bouche qui dort
Tout contre la rosée légère vole et voyage
Homme sans nom femme pluie chérit son retour
Factices ne sont que bois l'encre mêlée de sens
Peuplées d’ellipses et lucioles faisant des choses
En clairs orfèvres par l’éclat lu aux joyaux
Tympan en route guérit un monde et pour bien
Souffle en paroles les aigrettes d'hier et songe
Où se pose aujourd'hui les silences d'eaux vives
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© Schawn
le 8 Aout 2012
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